L’auteure Catherine Bourgault nous arrive avec une suite de son livre L’appart de ma nouvelle vie. Elle nous présente la suite des déroulements rocambolesques de la vie de Maxim dans L’appart des amours perdus.
L’appart des amours perdus est un livre PARFAIT pour une lecture du soir simple, sans avoir à se casser la tête. J’adore ce genre de livre qui se lit la tête légère.
Le personnage principal, Maxim, a quitté une fausse relation avec son ex fiancé et sa vie familiale troublante pour venir s’installer dans un appartement avec deux colocs… Deux hommes.
Une forte relation d’amitié s’est bâtie entre elle et Nick, et une relation amoureuse complexe s’installe entre elle et Will.
Will a perdu sa femme, Allie (qui est également la sœur de Nick), il y a quelques années d’une maladie. Il est rendu extrêmement protecteur de Max, de peur qu’il lui arrive quelque chose de terrible. En plus de cette perte, il se tient responsable de la disparition soudaine de sa petite sœur, alors qu’il n’avait que 13 ans. Son passé troublant, rempli de désespoir, de problème, de relation difficile et d’abus de substance, le rattrapera rapidement.
Mais l’amour est plus fort que tout. Malgré ses problèmes familiaux avec son père et la surprotection de Will, Max est attirée vers lui et rien ne lui empêchera de se retrouver dans les bras de celui qu’elle aime.
Elle est patiente. Elle est prête à attendre pour cet homme, prête à sacrifier beaucoup pour leur relation complexe, mais fusionnelle.
J’ai beaucoup aimé cette lecture qui n’a pas quitté ma table de chevet de la semaine! Tous les soirs, j’avais hâte de venir lire quelques chapitres du livre. Je vais faire l’inverse de ce que j’aurais dû faire au départ : Je vais aller me chercher le tome 1!
Petit disclaimer avant de lire ce livre ?
Will, l’amoureux/coloc/confident, de Max dégage une vibe de partenaire toxique au début du roman. Plus on avance dans le livre, plus on comprend le pourquoi de ses agissements et plus il s’adoucit. Probablement qu’en lisant le tome 1 en premier (ce que je recommande fortement, même si j’ai compris l’histoire rapidement), on a moins cette impression.